Il paraît que les lessives tuent l’amour…
A propos du spectacle :
Une femme surgit d’un tas de vêtements. Elle a essayé d’y enfouir ses doutes, ses questions trop vives sur son couple, ses dilemmes indissolubles. Comme si, de ces dépouilles, témoins d’autres histoires, elle pouvait exhumer la réponse à la difficile décision qu’elle doit prendre...
Un tour de manège… et une autre femme vient prendre la parole à son tour, raconter la séparation de ses parents, et sa douleur de femme devenue adulte. Quatre femmes racontent ainsi la difficulté de vivre en couple, le bonheur et de la douleur qu’elles y ont trouvés, les chagrins et les espoirs qui les ont accompagnées dans cette vie partagée avec l’autre.
À travers l’articulation et l’exploration de quatre nouvelles du recueil « L’amour est très surestimé » de Brigitte Giraud, la comédienne Margot Naviaux donne à entendre la langue à la fois implacable et fluide de l’écrivaine, et à faire surgir du plateau les images évoquées par les mots.
Des images tendues comme un miroir où chacun peut se reconnaître ou se projeter. Par cette transposition en solo, il s’agit de découvrir ce qui peut faire théâtre dans cette écriture. Un voyage entre poésie, imaginaire, corps et texte.
Autrice : Brigitte Giraud
Mise en scène : Margot Naviaux, Thomas Saby
Interprète : Margot Naviaux
Lumière : Madeleine Campa
Genre : Seule-en-scène
Tout public (dès 15 ans)
Durée du spectacle : 45mn
SALLE 2
La Presse en parle :
Margot Naviaux - le feu secret, le feu sacré "Retenez ce nom : Margot Naviaux. Ne vous fiez pas à son air sage et son sourire un peu timide. Cette jeune femme -26 ans- brûle d’un feu sacré attisé par la littérature. Il suffisait de la voir vendredi au Théâtre Charles Dullin où elle disait quatre nouvelles extraites de « L’Amour est très surestimé », de Brigitte Giraud, invitée d’honneur du 31e festival du Premier roman. Quatre textes sans concession, sur l’usure du couple, l’attente, le déchirement, le regard d’un enfant sur le désarroi de ses parents séparés. Autant de pièges pour surjouer la douleur et arracher l’émotion du public. Elle laisse au contraire sourdre une tension extrême sans jamais céder au pathos. Tout en nuances, avec cet art de capter le regard et de faire corps avec le texte..."
Le Dauphiné Libéré – Mai 2018 - Jacques Leleu
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Tarif : 18€ / Tarif réduit (chômeur & sénior*, billetterie internet du TDM ) : 14€ / Tarif étudiant, - de 26 ans, partenaires, PassCulture19e : 10€* / Tarif - de 12 ans : 8€*
* (sur présentation d'un justificatif au guichet du théâtre)